Je me mets au lombricompostage ! // City Worms 🐛
Saviez-vous que, selon mesdechetsalimentaires.fr, les déchets alimentaires représentent environ un tiers du volume des ordures ménagères ? En gros, il s’agit des déchets de cuisine, comme les restes de repas ou encore les épluchures. Parce que j’ai voulu de réduire mon volume d’ordures ménagères, tout en fabriquant de l’engrais naturel et du compost pour mes plantes, j’ai rebondi sur la belle opportunité offerte par la Mairie du 7ème de recevoir mon lombricomposteur d’appartement, 100% made in France, et garanti anti-odeur/anti-fuite/anti-insecte : le City Worms®, développé par Vers la Terre.
Dedans, je pourrai y mettre, notamment : légumes, fruits (attention jamais les agrumes !), pain, café, thé en vrac ou en sachet, etc. Et qui se chargera de les dévorer ? Des vers de compost issus d’une ferme lombricole. Ces derniers appartiennent à l’espèce Eisenia, la plus couramment utilisée parmi les 3 ou 4 espèces utilisées pour le lombricompostage à travers le monde car on les trouve sur tous les continents. Ils sont robustes aux conditions extrêmes, engloutissent plus de la moitié de leur poids par 24h et leur intestin, véritable petite usine de transformation des déchets, réduit également la formation d’odeur et la pollution que peuvent contenir certains déchets.
Leur habitat est prêt, j’ai suivi une formation (également organisée par la Mairie du 7ème et à la présence obligatoire) avec le maître-lombricomposteur Thierry Sin : je n’ai plus qu’à attendre l’arrivée prochaine de mes nouveaux petits compagnons. Impatiente ! Je vous tiendrai bien sûr au courant de la mise en pratique du lombricompostage ♻️🐛🌱🌍
Photo : aalstyles.com // Lombricomposteur : City Worms par Vers la Terre // Suivez-moi sur Instagram.