Alerte à Liège | Influenceuse belge | Blog Mode, Beauté, Food & Voyage

C’est que doucement, mais sûrement, les vacances d’été approchent! On sera sur la plage, à siroter un Mojito, encore plus vite qu’on le croit! Tiens, vous ne vous êtes jamais demandés comment étaient fabriquées vos valises? Celles qui nous accompagnent au bout du monde, qu’on maltraite, qu’on remplit jusqu’au dernier cm³, qu’on a peur de se faire voler, qu’on se réjouit de voir apparaître sur le tapis d’aéroport, … Moi, ça m’a toujours intriguée de connaître l’envers du décor. Lorsque Samsonite m’a invitée à sa journée presse, j’ai ainsi directement sauté sur l’occasion. Peut-être allais-je comprendre ce qui justifie le prix de ces valises haut de gamme? A titre d’exemple, en fonction de sa taille, la Cosmolite (ultra légère et résistante) oscille ainsi entre 319€ et 429€. Alors, la solide réputation qu’a bâti Samsonite sur la qualité de ses produits et sa capacité à innover est-elle justifiée?

Première bonne surprise, cette entreprise américaine fondée en 1910 spécialisée dans les bagages réalise une importante partie de sa production en Belgique, à Oudenaarde. Malgré un coût salarial pour l’employeur particulièrement élevé, elle maintient ce choix stratégique notamment pour ses valises rigides. Vous pensez que fabriquer une valise n’a rien de complexe? Détrompez-vous! Poids, résistance des matériaux, tout est passé au crible pour être sans cesse amélioré. Ainsi, les fermetures éclaires, les serrures, les roues, les poignées, sont testées (« à la barbare ») sans relâche. Et si les tissus des bagages, humides ou non, ne décolorent pas sur nos vêtements, maintiennent leur couleur malgré une exposition prolongée au soleil, ne percent pas sous la pluie, … C’est uniquement car tous ces éléments ont fait l’objet d’une phase de recherche et développement particulièrement poussée. Tout ça pour garantir au voyageur de ne pas se retrouver à Calcutta ou Tombouctou avec un bagage complètement destroy. Et quand bien même cela se produirait, faute à l’usure naturelle, la marque assure un service après-vente histoire de prolonger la vie de ses produits. Tandis qu’une roue cassée sur une valise à bas prix et elle est généralement bonne pour la poubelle! Voilà en tous cas qui permet de justifier des prix plus élevés qu’à la concurrence. Bluffant, non? Encore plus lorqu’on plonge dans les ateliers et qu’on voit tout ce petit monde s’afférer à assembler les différents éléments à la main!

Côté nouveautés, ma préférence va à la ligne Firelite, sur laquelle j’ai même pu sauter à pieds joints histoire d’en vérifier la solidité (photo 26). Produite en Europe, cette gamme se base sur la technologie révolutionnaire Curv (mise au point en 2008 par le centre R&D belge, cocorico!) et offre de petites roulettes silencieuses, une poignée (étirable) confortable au dessus et une sur le côté, une tirette étanche PU et une serrure combinée TSA (Transportation Security Administration) pratique pour voyager aux Etats-Unis (qui exige que les verrous sur les bagages puissent être ouverts si un douanier a besoin d’en inspecter le contenu, des verrous qui évitent la destruction des valises). Si, durant un voyage, le plus pénible est certainement de brinqueballer ses bagages, Samsonite sait au-moins comment faciliter au maximum la vie des Globe-Trotters!

Photos: Alerte à Liège.