Dans l’atelier parisien de Princesse tam.tam
Pendant la Fashion Week, j’ai eu le plaisir d’être accueillie dans l’atelier parisien de Princesse tam.tam, la rafraîchissante marque de lingerie française aujourd’hui détenue par le groupe japonais Fast Retailing. Niché en plein coeur du 9ème arrondissement, à deux pas des Galeries Lafayette, c’est là que prennent vie les collections que nous trouverons en boutique généralement entre 12 et 18 mois plus tard. Sous l’impulsion du bureau de style, les équipes de l’atelier travaillent notamment sur les prototypes des futurs modèles tant pour la lingerie, le bain, le homewear que la ligne sport.
Même si j’avais déjà plongé il y a quelques mois dans les coulisses d’un atelier de fabrication de sous-vêtements haut de gamme, je m’étonne toujours à chaque fois de la complexité de la réalisation d’un soutien-gorge, composé généralement de 25 à 30 éléments, ou même d’un maillot. Matières, formes, innovation: tout doit être pensé dans les moindres détails pour apporter aux femmes mode, originalité, sensualité, confort et maintien.
Grâce à leur savoir-faire, les équipes de l’atelier répondent aux attentes des stylistes, tout en mettant en avant, grâce à leur expertise, les difficultés rencontrées lors de la production initiale de tel ou tel modèle et arrivent avec des solutions concrètes. Chaque collection Princesse tam.tam repose ainsi réellement sur un véritable travail d’équipe. En mai 2013, lemonde.fr expliquait que l’ambition du directeur général de Princesse Tam Tam, Pierre-Arnaud Grenade, était d’atteindre 1 milliard d’euros de chiffre d’affaires d’ici à 2020. Nul doute que les machines à coudre de l’atelier ne vont pas arrêter de s’agiter de si tôt!
Photos: Alerte à Liège.